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Il faut tout d'abord préciser que cette photo idyllique où Fugain apparaît tellement barbu, tellement chapeauté, tellement ensoleillé qu'on a envie de lui dire: "Il est bon ton café, gringo" n'est pas celle de la pochette originale. Deux ans plus tôt, pour les deux mêmes titres, Michel Fugain apparaît sur une pochette jaune, au centre d'un soleil mal dessiné. Et comme CBS est dans sa période "Images d'Epinal" (comme nous le verrons avec Joe Dassin), Michel est aussi jaune que son soleil.Pourquoi donc deux pochettes? Car il y a eu... [Lire la suite]

De l'avis général, la période eighties de Serge ne comporte pas de merveilles, loin s'en faut. Désabusé et fatigué, Serge n'a plus vraiment l'envie et ça s'entend.Les apparitions télévisuelles du plus grand auteur de chansons du XXème siècle (faute de participants sérieux, on va le nommer aussi pour le XXIème siècle aussi) sont tristes et pathétiques: entre le billet de 500 balles et les insultes à une Catherine Ringer ou une Whitney Houston, Gainsbourg passe à la caricature. C'est triste quand on connaît son talent. Il n'aime plus... [Lire la suite]

Starmania en anglais, ça tombait sous le sens... Et pourtant, il aura fallu attendre quatorze ans pour avoir cette version. Au menu, entre autres, Kim Carnes, Tom Jones et Cyndi Lauper. Celle-ci réinterprète sur ce disque deux titres, chantées à l'origine par Fabienne Thibault. La pochette est surprenante. Cyndi est sobre (c'est fort rare à l'époque), loin du personnage exhubérant de Girls just want to have fun. Le noir et blanc lui va bien, en fait. Elle a mis, quant à elle, une dizaine d'années pour s'en rendre compte. Côté... [Lire la suite]

C'est chaud ! Rien que la pochette donne l'idée du contenu. Rares sont, dans ma collection fort chaste, les photos aussi clairement entendues. Bon, c'est vrai que vous avez déjà vu passer Boney M mais c'était le verso qui était interdit aux moins de 16 ans. Ici, la demoiselle mise tout sur son physique, ce qui, vous en conviendrez, est original pour une chanson. Elle n'est donc vêtue que d'un foulard rouge (c'est une militante) noué savamment autour des endroits stratégiques. Derrière elle, un cheval est tracté. Ca rappelle les... [Lire la suite]

Séquence émotion. pourquoi, me direz-vous? Licence IV évoque d'habitude la chanson à boire, l'éthylisme débridé et les célébrations de mariages dans une salle des fêtes miteuse avec une moitié de famille complètement bourrée et l'autre qui attend que ça se termine. Pour moi, ce disque représente la toute première pièce de ma grosse collection.C'est mon tout premier disque, celui qu'on m'a acheté quand j'avais 6 ans. C'est émouvant, non? Ma maman me l'a acheté sur le marché de Saint-Loup sur Semouse (70) et... il était rayé. Je l'ai... [Lire la suite]

Nous sommes en 1979 et Danyel Gérard nous fait un come-back tout à fait innatendu. Il est vrai que l'ancienne idole des années 50 et 60 (Petit Gonzales, La leçon de twist, Il pleut dans ma maison) n'était plus réapparu depuis 1969 et Butterfly, occasion à l'époque pour lui de changer radicalement de look avec dans sa nouvelle panoplie : chapeau, veste à franges et barbichette. Plus ou moins dix ans d'absence dans les pattes, c'est difficile à faire oublier. C'est avec Marylou qu'il efface cette période d'absence. Ce titre sort... [Lire la suite]

Vous l'aurez peut-être déjà remarqué, en terme de carnages musicaux, je me défend. Et forcément, avec Lova Moor, nous allons voguer vers des rivages inconnus, des plaisirs inouis, des bonheurs coupables mais incroyablement délectables.A la baguette, Jean-Pierre lang, le parolier de Pierre Bachelet,  et Jacques Morali, l'un des créateurs des Village People. Avec ça et le fait que le disque soit produit par... Toutoune productions, on ne peut qu'attendre Lova "Rénovations du sol au plafond" Moor en glapissant. La pochette donne... [Lire la suite]

Qu'elle était belle Karen Cheryl... Elle est tout simplement splendide sur cette pochette, c'est d'ailleurs la même photo que l'on trouve sur l'album. Il existe une autre pochette, sur fond rouge avec la photo de Karen Cheryl en noir et blanc,  un peu de travers. Je l'avais en cassette et je l'ai même racheté, bien des années plus tard, en 33 tours. Il faut vraiment croire que je suis accro car j'ai aussi les 45 tours extraits du LP. Je ne m'arrête plus. C'est donc la Karen avant travaux qui se trouve sur la pochette, et sur... [Lire la suite]

Guy Carlier avait souligné dans l'un de ses papiers que cette chanson, écrite par Paul Anka, avait servi une fois à l'entrée sur un plateau de télévision... d'Amanda Lear. Il paraîtrait que cette chanson parle d'un travelot, mais bon... je suis pas terrible en anglais. Néanmoins, tout ceci n'est pas charitable.Ce qui n'est pas charitable non plus, c'est la deuxième version de la pochette. J'ai évidemment mis en tête de l'article celle de mon exemplaire mais sur la deuxième, on y voit un Tom Jones hilare (à droite pour la pochette... [Lire la suite]

La pochette qui fait peur ! Annie Cordy en andalouse ceintrée, plumeau à la main, éventail dans les cheveux. Cette image effrayante, je me la suis traînée toute mon enfance car, du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours connu ce disque. Pas aussi traumatisant qu'un 45 tours des Frères Jacques (dont je vous reparlerai très bientôt), ce titre a tout de même de quoi marquer dans son ensemble.Outre la pochette affolante qui est proposé à nos yeux, la chanson en elle-même vaut le détour. Annie Cordy y emprunte ici l'accent espagnol... [Lire la suite]